Bonjour à tous,

Voici quelques nouvelles.

Le week end dernier, j’étais à la coupe de France MAIF, à Libourne. Appelé dans la semaine précédente, j’ai remplacé Hugo BOUCHERON malade. J’ai pu participer ainsi à ma 20^ème Coupe de France en tant que rameur (et 1 en barrant un 4+ de l’ABFL, Auvergne Bourgogne, Franche Comté et Lyonnais).

La Coupe  de France est la compétition la plus sympathique à faire, et ce surtout quand on vient d’un petit club (ce n’est plus le cas de Villefranche ses dernières saisons). C’est une compétition où l’on représente la ligue et on fait ainsi des bateaux avec des rameurs d’autres clubs. Ainsi, on prend le temps lors d’un week end (ou plus si on a le temps de s’entraîner), de connaître des rameurs que l’on ne fait que croisés sur les bassins de compétitions.

La Coupe de France me réussi relativement bien. Au départ avec le Lyonnais puis, à partir de 2003, avec Rhône-Alpes, j’ai fais 12 podiums (6 première, 5 deuxième et 1 troisième) et 6 autres finale. J’ai participé essentiellement en quatre de couple mais aussi 2 fois en huit. J’ai pu ramer avec des dizaines et des dizaines de rameurs dont pour les plus célèbres Jean Christophe ROLLAND, Thibault CHAPELLE, Xavier DORFMAN, Jonathan COEFFFIC…

Cette année, il n’a pas été possible de jouer le podium. En effet, le midi pyrénées et la provence alpes, ont présenté de beau bateau et nous n’étions pas assez fort et entraîné ensemble. Néanmoins, nous nous sommes beaucoup amusé et cela reste le principal pour une Coupe de France.

A côté de cela, Mélanie a eut sa mutation dans l’académie de Lyon pour la rentrée de septembre. Néanmoins, elle ne sait pas dans quel établissement et ville, ce sera la surprise de juin.

Laureline est pleine de vie et profite au maximum de son papa jusqu’à le faire tourner en bourrique.

Ce week-end a eu lieu les championnats de zone bateaux courts à Aiguebelette.

Ma préparation hivernale a été dure (voyage, blessure …). Du coup, en arrivant sur Aiguebelette, je savais que les courses allaient être dures. Je comptais sur ces dernières pour me jauger et me mettre dans le bain pour la dernière ligne droite avant Brive.

Actuellement, j’arrive a m’entraîner que par à coup (3 jours de bateau et 4 jours sans ramer). Néanmoins, les sorties sont assez bonnes et constructives.

Les conditions de ce week-end ont été assez déplaisantes. Le samedi, il a plut une bonne partie de la journée. Bien que finalement, nous avons eu la chance d’avoir un créneau sans pluie pour notre course. Le dimanche, alors qu’il devait faire un peu meilleur,  finalement, cela a été catastrophique. Pluie, neige et une température juste positive étaient au programme. Je ne me souviens pas avoir eu aussi froid aux mains de toute ma vie de rameur. D’habitude, quand il fait froid, au bout de 2 à 4 kilomètres, les mains se réchauffent. Dimanche matin, ce n’était pas le cas. J’ai fais la course avec les mains glacées et humides, ce qui est très loin d’être l’idéal pour une course. Lorsque je suis arrivée au ponton, j’avais les mains violettes. Lors de la finale, nous avons eu de meilleures conditions avec presque un rayon de soleil. Nous avons tous regretté le temps presque estival de Marignane il y a 3 semaines.

Sur le plan des courses (quand même), comme je m’y attendais, la première a été assez dure. Mon concurrent direct était Alexandre MEURILLON. Après un petit départ, il a fallu attendre le 3^ème 500 mètres pour que je prenne la tête de la course. Ma cadence est descendu à 29 coups par minutes ce qui pour moi est très bas pour un 2000m. J’étais cependant content de passer directement en demi-finale et d’éviter une deuxième course l’après-midi.

Le dimanche matin, en ½ finale, nous étions tous frigorifiés lors du départ. Damien a fait toute la course en tête. Eloi et Bart m’ont tenu lors du 1^er mille mètres. Ensuite, j’ai réussi à leurs mettre pratiquement une longueur avant d’aborder les 250 derniers mètres. Mais ils ont fait l’effort et moi, je n’ai pas pu réagir. Du coup, Bart me passe dans les derniers mètres mais je garde 3 dixièmes de seconde d’avance sur Eloi pour la place en finale.

Damien, vainqueur de ma demi déclare forfait pour l’après-midi. Jérémie et Max font la course en tête. On fait jeu égal avec Bart sur plus de la moitié de la course. J’arrive à partir dans le 3^ème 500m et à tenir la longueur d’avance sur ce dernier jusqu’à la ligne. Jérémie gagne avec 5 secondes sur Max et 10 sur moi.

Malgré ces écarts, je suis content de mon parcours des zones. En effet, je suis arrivé à augmenter mon niveau au fur et à mesure des courses. Lors de la finale, j’ai réussi à tenir le 33 de cadence, ce qui est plus proche de ma manière de courir.

Maintenant, il faut que je peaufine tout cela pour essayer de refaire mon retard sur Jérémie et Max., et comme on dit, « sur un malentendu ».

Bonne semaine à tous et à très bientôt.

Bonjour à tous,

Cela fais trop longtemps que je n’ais pas posté d’article.

Il faut dire que le temps passe vite. Je cours toujours de Joigny à Villefranche, sans oublier des aller retour sur le Pôle France et des week-ends en famille…

Outre le faite que je reste rarement plus de 3 jours au même endroit, j’arrive à m’en sortir. Le mois de janvier a été plus bénéfique sur le plan de l’entraînement par rapport au début d’année. J’ai réalisé 40 séances d’entraînement : près de 300 kilomètres de bateau, une petite vingtaine de tours de musculation et plus de 25 heures de divers (ergo, footing et vélo). C’est un mois d’entraînement correct en comparaison de ce que je suis capable de faire les saisons précédentes (sans être toute fois sensationnelle).

Sur le plan technique, les repères sont assez positifs. Charly qui m’a suivi hier au Pôle France m’a confirmé que les bases (amplitudes, le replacement, l’immersion) sont là mais qu’il fallait que je stabilise un peu. Bien que j’ais pu faire pas mal de kilomètres le mois dernier, depuis le début du mois, c’est beaucoup plus dur pour moi de sortir en bateau. En effet, l’Yonne est en crue et rends les sorties très compliquées voir impossible. Il en va de même pour la Saône qui n’arrête pas de monter et de descendre mais qui reste impraticable pour le moment (pour un entraînement sportif). Donc, en ce moment, je ne sors en bateau qu’au Pôle 1 à 2 fois par semaine. Il m’ait donc difficile de stabiliser quoi que ce soit.

Sur le plan physique, une petite fatigue est là mais rien de bien grave.

La semaine dernière, j’ai réalisé mon test d’ergomètre, et il n’ait pas très bon. Je réalise un 6’19’’2. C’est en dessous des 6’20 mais c’est très loin de mes meilleures performances. Je suis forcément déçu de ce résultat, mais je suis néanmoins content que ce soit terminé. Jérémie, après avoir battu son record personnel au mois de décembre avec un 6’02’’8 (ou 9), ce week-end, il a battu le record de France poids légers en 6’06. Son record de décembre n’a pas été validé en tant que record de France car ce n’était pas sur un open d’ergo officiel et il n’y avait pas assez d’officiel…

Pour ma part, le week-end a été sympathique grâce au CDOS du Rhône (Comité Départemental Olympique et Sportif). Ce dernier à offert à moi et mon épouse, une place pour voir un match des 6 nations au Stade de France, avec le voyage et l’hôtel. Ainsi, après avoir confier Laureline à la grand-mère, nous avons fait un week-end à Paris. J’avoue que le match n’était pas des plus fameux mais ça a eut le mérite de changer du quotidien.

Voici en tout cas un peu de mes nouvelles. Je continue à faire de mon mieux pour tout concilier sans avoir trouvé encore de solution efficace.

A bientôt.

Bonjour,

Un petit article pour vous dire que j’ai passé mes tests de musculation d’endurance (7 minutes à 30 de cadence sur les tirades rowing et les squats).

Comme je l’avais senti venir, ce fut dur. Néanmoins, Les objectifs que je m’étais fixés, sont atteins.

Depuis le début de la saison, je totalise moins de 40 tours de C2, l’année dernière, j’avais passé la centaine de tours. De plus, si on enlève les 2 tours de mardi, cela fessait plus d’un mois que je n’avais pas fais de musculation. En ce qui concerne les charges lors de des C2, ils sont en baisse depuis quelques années.

Ces circonstances ne m’ont pas permis de me sentir à l’aise pour mettre les poids de mes record (55kg en tirades rowing et 60kg en squats réalisés en 2010 et 2011).

Je suis resté sur des poids un peu plus « classique » qui sont ceux que je mets actuellement lors des circuits C2 : 50 kg pour les tirades et les squats.

Après un petit échauffement d’une dizaine de minutes (plus 20 kms en skiff 2 heures avant), j’ai fais les max en tirades (92,5 kg). Ensuite, j’ai préparé ma barre pour l’endurance tirades à 50 kg. En commençant, j’ai su au bout de la cinquantaine que ça allait être dur. En effet, pour arriver à tenir le rythme, je me suis tortillé dans tout les sens. Je me suis servis de tout ce que je pouvais pour que la barre touche le banc à chaque fois. Alors que d’habitude je mets un point d’honneur à ne me servir que des dorsaux et des bras, cette fois, j’ai mis toute mon énergie pour pouvoir tenir les 7 minutes. Au finale, je monte la barre 225 fois en 7 minutes. En me relevant du banc, j’étais heureux d’avoir tenu les 7 minutes en regrettant cependant la manière. Sur le plan physique sur ce type d’effort, on a la sensation que les avants bras ont triplés de volume. Néanmoins, cette impression ne dure pas car moins de 2 minutes après, c’est quasi parti. Sur le plan cardio, les pulsations ne montent pas excessivement et on est très loin d’être à bout de souffle.

Après 5 minutes d’ergo et des étirements, j’ai chargé la barre de squat et mis l’élastique à la bonne hauteur (il faut toucher l’élastique en bas). Les squats se sont bien passés. Il faut bien penser à souffler et à gainer son geste. En effet, l’endurance squat se joue beaucoup sur le cardio et le souffle. On utilise beaucoup plus de masse musculaire que sur les tirades et du coup, les pulsations atteignent vite les sommets. Les répétitions s’enchaînent petit à petit. Les minutes passent. Les jambes commencent à bruler avant d’atteindre la centaine de répétitions. Au bout de 6 minutes et les 200 répétitions de passé, les jambes commencent à se raidir de plus en plus. Je termine les 7 minutes en achevant la 237^ème répétitions. En posant la barre, je sens les quadriceps qui commencent a se tétanisés. Je me suis vite mis à marcher me diriger vers l’ergo pour  ramer 10 minutes. Je crois que je n’aurais pas tenu les 52,5kg, les jambes se seraient tétanisées au milieu du test.

Voici la vidéo de mon record de 2011 à 60 kg. Je pense que j’étais en meilleurs forme qu’aujourd’hui à la fin du test malgré les 10 kg de plus.

Maintenant, le plus dure reste à venir. Je crains fort que je ne puisse plus marcher correctement pendant quelques jours à cause des courbatures.

Je vous souhaite une bonne soirée.

Bonjour à tous,

Pas de test d’ergomètre pour moi en cette fin d’année.

Cela fait maintenant 2 semaines que j’ai l’épaule gauche qui me fait mal. Ce dernier c’est déclaré à la fin d’une sortie bateau. Après 15 km, j’ais ressenti des petites piqures sur le haut de l’épaule en fin de coup. Je suis allé voir 2 kinés sans trop de succès. Cette semaine, j’ais laissé l’épaule tranquille et je me suis entraîner en vélo et en footing. La semaine prochaine, je retournerai voir les kinés.

Je me suis surement blesser en musculation. Même si je n’ai pas ressenti de douleur dans l’instant, j’ai fais l’effort de bien monter mes barres lors des tirades rowing (le banc doit faire moins de 3 centimes au lieu des 7 préconisés). Même si ce n’est pas beaucoup, vu que c’était un peu les premières « vrais » musculations que je fessais (4 tours) et avec le nombre de mouvement, cela fait tout de suite beaucoup plus de contrainte. En bateau, je cherchai aussi à bien m’investir sur le secteur arrière.

Si bien que pour le moment, c’est un peu plat dans le sportif. Néanmoins, j’en profite pour finir notre installation à Joigny et de m’occuper de  ma fille (et c’est peux être ça le plus important).

Je vous avais promis une vidéo ou film de l’Yonne au chômage mais, soit elle n’est pas descendue autant qu’elle devait, soit elle l’a fait quand j’étais sur Villefranche. Le maximum que j’ai vu, l’Yonne était à peine à 20 centimes au dessous de son niveau normal, loin des 1 mètres prévu.

Je vous souhaite un bon week-end.